Outside-in ou le jardin de l’infini

05/21/2013

« « Outside-in » est un jardin qui devient forêt, par le biais d’une illusion sensorielle.

Espace contemplatif, jardin dans un jardin, « outside-in » est un petit univers où paysage et architecture se confondent. Il nous propose de réfléchir sur la dualité entre ce que nous savons et ce que nous voyons.
Méditation sur l’espace, la lumière et la possibilité de l’infini, cette mise en scène ludique pourrait rappeler un épisode d’ « Alice au pays des Merveilles », où Alice se penche à la serrure d’une porte minuscule, entrevoit un beau jardin et se rend compte qu’elle n’est pas en mesure d’y entrer…
Cette expérience paradoxale – la perception d’un espace, d’un contenu plus important que le contenant – où l’on projette son regard dans un monde intérieur, qui n’est autre qu’un univers extérieur, peut être à la fois irritante et captivante.

Bien que le visiteur reste spectateur, maintenu à distance sans jamais interrompre le tableau où la forêt reste infinie et immuable dans cet espace impénétrable, « outside-in » amènera chacun à découvrir « son » jardin imaginaire. »

Le jardin Outside-In a été conçu par Ulli Heckmann, ingénieur diplômé en architecture, Meir Lobaton, architecte et Julia Pankoferm ingénieur diplômée, architecte-paysagiste. Il est présenté dans le cadre du festival des Jardins du Domaine de Chaumont-sur-Loire.

Les plantes utilisées sont: Achnatherum brachytrichum, Alchemilla epipsila, Anemone sylvestris, Aruncus aethusifolius, Carex muskingumensis ‘Little Midge’, Cimicifuga racemosa, Dryopteris affinis, Heuchera sanguinea ‘White Cloud’, Luzula nivea, Phlox divaricata ‘May Breeze’, Polygonatum biflorum, Polystichum aculeatum, Polystichum setiferum, Rodgersia aesculifolia, Sesleria autumnalis, Viola cornuta ‘Pure Light Blue’, Viola cornuta ‘Rebecca’.

Texte via le site du festival des Jardins du Domaine de Chaumont-sur-Loire

Images par Fabio Ferrario via Archdaily

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La voûte gonflable

12/6/2012

Pour la conception du Design Miami/ de cette année, la firme Snarkitecture basée à Brooklyn a créée une adaptation d’une tente de vinyle blanc flottante pour le pavillon d’entrée du festival.

Drift utilise des tubes gonflés pour construire un plafond poreux qui laisse passer la lumière du soleil tout en créant une forme montagneuse à l’extérieur et une caverne tamisée à l’intérieur.

«La lumière filtrée qui passe entre les tubes du paysage inversé crée un espace à la fois interactif et contemplative»,

via frameweb

photos par Snarkitecture

 

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Fast track

11/28/2012

Voie rapide de 51 m pour les piétons à Nikola-Lenivets en Russie.

‘Fast track’ est une tentative d’intégration d’une infrastucture intelligente qui correspond au contexte local.

Elle offre à l’utilisateur une expérience de déplacement hors du commun tout en modifiant sa perception à l’environnement.

Développé par Salto dans le cadre du festival arch.stoyanie.

Photos by Nikita Šohov & Karli Luik

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Architecture cinétique

11/19/2012

Wave Dilfert est un nouveau type d’espace capable de lire et de comprendre les changements de lumière et d’ombre se produisant à l’intérieur, en les cataloguant et les calculant pour ensuite créer comme réaction des impulsions, des contractions ou des dilatations.

Créé par The Principals pour la salle The Feast à New York

Texte et photos par The Principals

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Le vent souffle où il veut

10/1/2012

Installation de Daniel Burens, à la plage de Haan en Belgique dans le cadre de l’événement Beaufort 03 (2009)

Daniel Buren s’interroge sur l’essence de l’art et il met en question les systèmes qui le soutiennent. Il se sert d’une grande variation de matériaux mais depuis les années 60, il suit un motif fixe : des rayures blanches d’une largeur identique de 8,7 centimètres, alternées par une même couleur. Cette méthode minimaliste traduit chez lui une volonté de cerner l’essence de la peinture : lumière et couleur, avant-plan et arrière-fond… . La prise de conscience spatiale est essentielle. Avec Le Vent souffle où il veut, il évoque l’illusion d’un bois en plaçant cent mâts de pavillon l’un près de l’autre. Les mâts sont ornés de soi-disant girouettes. Le visiteur peut se balader parmi les mâts et se perdre dans une oasis de couleurs. 

Pour voir les autres installations : Beeldenpark Beaufort 

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Field Zagreb

09/20/2012

The suspended Field is a spatial project related to our comprehension of nature, its resources and our attitude towards it. The men`s common perception of earth is defined by two paradoxical paradigms, one of earth as immobile mass of infinite weight and other as earth like a plain, two dimensional surface. Growing the field, which is not tied to the ground, but floating on pulsating piece of textile in between closed walls, provokes both of those concepts. The « green » carpet undergoes the entire vegetative cycle, from sprouting to disintegration. The emergence of this artificial, yet live installation, puts the designer in a different context, in a position of a dedicated farmer. In this case, the skills are all about optimization of the density of sowing, the choice of the right sowing culture and determining the precise dosage of the irrigation. This process makes us aware of both the fragility and power of life. From one side, we witness the incredible fact that plants grow out of cloth, and from the other we face the fatal consequences of  insufficient or over irrigation.

Texte et images par Numen

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REGIONAL 12

07/18/2012

Le festival REGIONAL 12 explore comment les zones rurales pourrait devenir un modèle pour les discours novateur sur le développement social en temps de croissance urbaine. Il se concentre sur trois thèmes principaux: la jeunesse / Mobilité / Ville, Environnement naturel / Développement durable et Vivre ensemble / Travailler ensemble. Le programme offre des conférences, des événements et des interventions urbaines dans les espaces publics de célèbres artistes comme Eko Prawoto, raumlabor, Jeppe Hein, Marjetica Potrc et Peter Fattinger & Veronika Orso.

Texte et photos via In public place we trust

 

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Jardin de livre

05/31/2012

Une librairie prend place dans le vignoble de l’abbaye de Saint-Pierre, à Gand en Belgique durant le festival TRACK.

Conçu par l’artiste italien Massimo Bartolini, l’installation est composée de 12 bibliothèques en harmonie avec les vignes.

Les livres sont fournis par les bibliothèques publiques de Gand et d’Anvers et sont à vendre dont les profits seront versés à des bibliothèques.

TRACK est un prétexte pour créer des conversations urbaines, grâce à 41 artistes internationaux éparpillés à travers la ville de Gand.

Texte et photos via SeattlePi

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