08/22/2014
Le deuxième Louvre, situé dans la ville de Lens, dans le Pas-de-Calais, sur une ancienne fosse, connue sous la fosse no.9 qui a été exploité jusqu’en 1980 pour son charbon. Les caractéristiques du paysages évoquent l’histoire minière du lieu et l’équipe de concepteur, composée de la firme d’architecte japonaise SANAA, avec le bureau d’architectes-muséographes Imrey Culbert, ainsi que l’architecte paysagiste française Catherine Mosbach, ont réussi à maintenir les ouvertures du site et de réduire l’emprise de ce grand projet.
Le Louvre-Lens se déploie sur un parc de 20 hectares, où on y retrouve un parc aménagé, 4 hectares de prés fleuries, un hectare de pelouse rase et une vingtaine de « canapés végétaux » servant de bancs dans le périmètre du parc. Le rez-de-jardin est entièrement ouvert au public, tandis que les parties techniques sont situées au sous-sol. Les deux parvis en béton, posés sur une terre noire de terril où de maigres ilots de pelouse surnagent, font transition avec le parc paysager.
Les images proviennent de europaconcorsi par Hufton + Crow
Textes europaconcorsi et wikipedia
07/8/2013
Installation HE par bam! Bottega di architettura metropolitana au MAXXI (Musée national des arts du XXIe siècle) à Rome en 2013.
HE est le projet lauréat du YAP (Young Architects Program) MAXXI 2013, le programme pour la promotion et le soutien des jeunes architectes organisé par MAXXI Architettura en association avec le MoMA / MoMA PS1 de New York, Constructo de Santiago et, pour la première fois, Istanbul Modern, de la Turquie. Le programme prévoit à chaque année des installations permettant d’offrir aux visiteurs un espace pour les événements de l’été tout en offrant de l’ombre et un lieu de détente.
He, c’est grande chambre suspendue au-dessus de la place qui créer de l’ombre pendant la journée et de la lumière la nuit. Pour en savoir plus, visitez le site web de bam!
photos via gooood.hk
06/26/2013
L’artiste Maider López a tracé, dans le cadre de la Biennale de Sharjah en 2007, un terrain de football au Musée Sharjah dans lequel le mobilier urbain interfère avec le jeu.
Il suggère de nouvelles utilisations pour la place et une nouvelle structure de l’espace urbain.
via Outils pour l’Action du CCA
05/14/2013
Le projet de musée de l’architecte Juan Domingo Santos a commencé avec la recherche d’un endroit pour favoriser la présence de l’eau dans des conditions naturelles. L’espace choisi est situé dans l’accès à Sierra Nevada Parc Naturel, le long de la rivière Lanjarón et un canal d’irrigation qui longe quelques vieux bâtiments utilisés comme abattoir municipal. L’intention de s’installer dans cet espace du musée a été de préserver l’environnement naturel de développement par la création d’un itinéraire qui relie la nouvelle activité avec l’infrastructure de l’eau et des architectures à venir tels que moulins et un ancien lavoir public.
Un carré avec 17 orangers est légèrement surélevé avec des éléments préfabriqués en béton et des rondins d’eucalyptus empilés dans différentes tailles qui sont temporairement inondés avec de l’eau du fossé, qui configure un espace d’aspect différent le long de la jour. L’ombre et l’odeur des fleurs d’oranger, le bruit de l’eau tombant sur les troncs de l’étang et les reflets de l’eau créer une atmosphère rafraîchissante avant d’entrer dans le musée.
» Le fond du projet vise la sensibilisation du public face à la question de l’eau tout en démontrant la possibilité de la convoyer naturellement et écologiquement. L’espace est donc rythmé par les mouvements du liquide et les sons résultant de son écoulement. Un lieu de paix et de sérénité, tout en atmosphère. » ozartsetc
images via ozartsetc
texte par Juan Domingo Santos
11/22/2012
au Tate Modern à Londres par Vogt Landscape
Photos via flickr Revsorg et dave.osborne
via ohlalandscape
11/20/2012
Après deux années de reconstruction, de rénovation et d’expansion, Museum der Kulturen de Bâle, en Suisse a rouvert ses portes au public.
Parmi les mises à jour, Herzog & de Meuron décrit sa conception comme une couronne superbe pour les murs historiques: le toit-terrasse de plis irréguliers s’insère harmonieusement dans les toits environnants.
Texte et photos par Herzog & de Meuron
11/11/2012
Réalisé par les architectes de NEY + Partners à Amsterdam en 2009-2011.
La verrière au-dessus de la cour intérieure du Musée de la Marine d’Amsterdam devait offrir une plus-value à ce bâtiment historique. Basé sur les roses des vents des anciennes cartes maritimes, la structure en acier se développe sur 30m x 30m. Cette géométrie a été cintrée légèrement, de manière à ne plus transmettre que des efforts verticaux sur les murs existants du musée. La structure en acier devient en outre un élément scénographique par l’introduction d’éclairage Led aux différents nœuds de la structure.
Les projets lauréats du Prix National néerlandais de l’acier ont été annoncés le 4 octobre. La couverture vitrée du Musée Maritime des Pays-Bas, projet de Ney&Partners, en fait partie.
Ce projet est lauréat dans la catégorie «structures spéciales en acier » pour laquelle 158 projets furent soumis à l’appréciation du jury, qui en a préalablement nominé 14.
Le jury précise : « C’est la légèreté apparente de la toiture qui est fascinante. Elle est conçue comme suspendue, mais fonctionne en compression. La technique est raffinée, l’engineering inventif, l’éclairage spectaculaire et le respect pour le bâtiment existant en brique honorable. Un lauréat mérité.”
Texte et photos par NEY + Partners
Photos par J-L Deru