Thickened Waterfront
09/4/2013Aménagement réalisé dans le cadre de l’Horticultural Fair qui a eu lieu de avril à octobre 2011, dans la municipalité de Xian, en Chine.
Par Groundlab et AA Landscape Urbanism MA
Le pamphlet est un site web montréalais qui présente des projets locaux et internationaux innovateurs dans le domaine de l’architecture de paysage.
Archived posts in ' "jardin"
Back homeAménagement réalisé dans le cadre de l’Horticultural Fair qui a eu lieu de avril à octobre 2011, dans la municipalité de Xian, en Chine.
Par Groundlab et AA Landscape Urbanism MA
Par le collectif Les jardiniers Nomades dans le cadre du festival « Arts, ville et paysage » de la Maison de la Culture d’Amiens où l’on retrouve les Hortillonnages d’Amiens, un ensemble de quelques centaines de jardins flottants sur un dédale de 65 km de canaux, au cœur de la cité amiénoise.
Située au coeur des Hortillonnages, c’est sur une île en friche dominée par une cabane délabrée que le choix de l’équipe se porte, y ayant vu un témoin éclatant de la réalité des Hortillonnages aujourd’hui : un paysage patrimonial en transition. Le projet le Syndrome de la page blanche n’envisage pas l’île comme le socle d’une oeuvre mais comme l’oeuvre elle‐même. Cette île caractérise les hortillonnages par ses différentes composantes :
‐ La fertilité exceptionnelle de son sol est illustrée par une abondante prairie blanche qui couvre l’île d’un nouvel écrin.
‐Les arbres, apparus spontanément depuis l’abandon de l’île, sont chaulés pour révéler la force architecturale de la nature, reprenant son droit sur la culture.
‐La cabane, sombre et mystérieuse, est ouverte sur son flanc, offrant comme une camera obscura depuis laquelle on peut saisir un cliché de l’apparente tranquillité de l’eau et l’illusoire immobilité du paysage.
‐Enfin, la plénitude offerte par cet environnement remarquable est mis à portée de main grâce à de grandes structures en bois qui invitent les visiteurs à méditer au creux d’un filet, suspendus tantôt entre ciel et eau, tantôt entre le feuillage des arbres et la prairie.
En mettant en lumière le caractère de l’île, notre intervention, réversible, se propose de réinterroger l’avenir. Si le succès du festival contribue grandement à sensibiliser les visiteurs à l’intérêt de ce patrimoine, la question reste entière : quelle histoire écrire sur cette page blanche?
Photos et texte via Les Jardiniers Nomades
« « Outside-in » est un jardin qui devient forêt, par le biais d’une illusion sensorielle.
Espace contemplatif, jardin dans un jardin, « outside-in » est un petit univers où paysage et architecture se confondent. Il nous propose de réfléchir sur la dualité entre ce que nous savons et ce que nous voyons.
Méditation sur l’espace, la lumière et la possibilité de l’infini, cette mise en scène ludique pourrait rappeler un épisode d’ « Alice au pays des Merveilles », où Alice se penche à la serrure d’une porte minuscule, entrevoit un beau jardin et se rend compte qu’elle n’est pas en mesure d’y entrer…
Cette expérience paradoxale – la perception d’un espace, d’un contenu plus important que le contenant – où l’on projette son regard dans un monde intérieur, qui n’est autre qu’un univers extérieur, peut être à la fois irritante et captivante.Bien que le visiteur reste spectateur, maintenu à distance sans jamais interrompre le tableau où la forêt reste infinie et immuable dans cet espace impénétrable, « outside-in » amènera chacun à découvrir « son » jardin imaginaire. »
Le jardin Outside-In a été conçu par Ulli Heckmann, ingénieur diplômé en architecture, Meir Lobaton, architecte et Julia Pankoferm ingénieur diplômée, architecte-paysagiste. Il est présenté dans le cadre du festival des Jardins du Domaine de Chaumont-sur-Loire.
Les plantes utilisées sont: Achnatherum brachytrichum, Alchemilla epipsila, Anemone sylvestris, Aruncus aethusifolius, Carex muskingumensis ‘Little Midge’, Cimicifuga racemosa, Dryopteris affinis, Heuchera sanguinea ‘White Cloud’, Luzula nivea, Phlox divaricata ‘May Breeze’, Polygonatum biflorum, Polystichum aculeatum, Polystichum setiferum, Rodgersia aesculifolia, Sesleria autumnalis, Viola cornuta ‘Pure Light Blue’, Viola cornuta ‘Rebecca’.
Texte via le site du festival des Jardins du Domaine de Chaumont-sur-Loire
Images par Fabio Ferrario via Archdaily
Affiche inspirante de WaGon Landscaping, une jeune firme qui met au centre de ses préoccupations la simplicité de ses projets pour répondre au mieux aux besoins des usagers. La friche de la Belle de Mai, dans le cadre des quartiers créatifs de Marseille Provence 2013, met en place un nouveau jardin collectif dans le quartier de la Belle de Mai. Wagon Landscaping, aide à la réalisation de ce jardin, sur une dalle de parking avec l’équipe de Bank of Paradise : Jean-Luc Brisson, David Onatsky, Lilly Wanat, Julien Chèze, Alice Freytet. Projet piloté par Yann Lorteau et David Onatsky.
Les appartements colorés de Hufeisensiedlung (Le lotissement du fer à cheval) ont été construit entre 1925 et 1933 selon les plans de Bruno Taut et Martin Wagner. Hufeisensiedlung a été initié par une coopérative d’habitation mis en place pour lutter contre la pénurie d’espace de vie abordable. Les nombreux blocs de style Nouvelle Objectivité aux façades colorées comprennent plus de 1.000 appartements, situés autour des jardins conçus par l’architecte paysagiste Leberecht Migge.
Depuis 2008, le hufeisensiedlung est un site du patrimoine mondial de l’unesco.
texte et photos via hiepler, brunier,
Photos pour le magazine Brand eins
C’est Christian de Portzamparc, l’architecte en chef de la ZAC des Hauts Malesherbes, qui donna carte blanche à Édouard François pour la conception d’une tour à logements.
Située face au parc, Tower Flower en constitue la prolongation à la verticale. Avec ses pots de fleurs géants suspendus aux balcons, elle s’inspire des jardinières parisiennes qui sont parfois de véritables prouesses botaniques. Ses éléments de façades constituent l’une des premières applications du Ductal (Lafarge). Les logements destinés à l’accession sont libérés de tout mur porteur. Ils bénéficient du bruissement des bambous et d’une lumière filtrée par le feuillage.
Tower Flower incarne l’expression du désir de nature en ville.
Photographies par Edouard François via ArchDaily
Texte via Edouard François
Les photos suivantes présentent le jardin au pied de la tour Flower Tower, le jardin des Hauts de Malesherbes. photos via linternaute
Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de act.romegialli
via gooood
L’objectif de ce projet était de faire un jardin en cohérence avec la fragilité du paysage environnant.
La structure du jardin est construite avec des éléments pris dans le paysage: les lignes, les motifs, les haies, les prairies, les arbres, les lignes … Un motif de lignes fauchées détermine des carrés de 24 à 24 mètres d’herbe non fauchée. Cette tendance poursuit la rationalité du paysage agricole et apporte une échelle humaine dans le jardin. Dans ce modèle de carrés non tondue, il ya pour chaque mois de l’année, un petit carré de plantation qui apporte détail (forme, couleur, texture, …) dans le jardin. La combinaison de la logique agricole et les éléments poétiques du jardin apportent une preuve surprenante à travers les saisons.
à Heuvelland en Belgique.
Photos et texte par Studio Basta
Merci à Studio Basta pour les photos et le texte